Avec la simplicité comme philosophie et les outils NoCode comme alliés, il n’y a aucune limite à ce que tu peux accomplir.
Dans une époque saturée d’informations et d’obligations, j’ai cette obsession : avec la simplicité comme philosophie et les outils NoCode comme alliés, il n’y a aucune limite à ce que tu peux accomplir.
Je vais te partager mon parcours qui m’a amené à réfléchir et à rechercher la simplicité pour me concentrer sur l’essentiel et à développer mon expertise dans le NoCode.
1. La genèse d’une quête personnelle
Mon voyage a démarré lors d’une période de remise en question profonde pendant mes études. J’ai redoublé mon année d’école d’ingénieur et je me suis mis à réfléchir à ce que je voulais faire de ma vie.
De manière assez classique, j’ai fait des recherches sur Internet, du style comment savoir ce que l’on veut faire de sa vie. Je suis alors tombé sur le développement personnel. J’ai beaucoup lu d’article et de livre sur le sujet pour apprendre.
Je faisais les exercices proposés pour réfléchir à ma situation de redoublement. En fixant un délai de 6 mois pour prendre une décision.
Je finis par prendre la décision d’arrêter mon école d’ingénieur pour me réorienter. Cela n’a pas été sans être confronté à différentes difficultés et je suis allé au bout de ma décision.
J’ai continué d’apprendre pendant plusieurs années en reprenant des études dans un autre domaine et j’ai commencé à travailler.
J’étais content de ce que je faisais, mais je cherche encore quelque chose.
2. La révélation du NoCode
Au fur et à mesure du temps, je découvre le NoCode. Le but étant de pouvoir créer des outils et des applications sans avoir besoin d’écrire du code.
Je ne suis pas développeur et ma première interaction avec Make a duré 5 min.
Mais j’ai continué de regarder les contenus proposés par ClaireNocode et Shubham.
J’ai suivi la formation sur les prompts ChatGPT de CLaireNocode qui a proposé à l’issue de suivre une formation pour automatiser l’assistance de ChatGPT.
Cette formation m’a fait découvrir un nouveau monde incroyable. La formation est d’une qualité exceptionnelle et sera bénéfique à la seule condition de mettre les mains dedans pour tester et apprendre à faire des automatisations.
En associant la simplicité et non la facilité d’utilisation des outils NoCode avec la recherche de la simplicité au quotidien, me voilà armé pour développer la simplicité dans sa tête, mais aussi dans ses outils et dans ses tâches.
Ce que je préfère dans le NoCode est le moment où l’automatisation est terminée et que je lance le premier test. Ça fonctionne, Eurêka ! Ça marche, super fier.
Si ça marche, pas, je sais que je ne suis plus très loin et que j’ai besoin de corriger les erreurs. Et ça a toujours fini par fonctionner.
Le NoCode m’a permis de réaliser des prouesses comme le traitement de 500 données en une seule journée, une tâche qui aurait autrement nécessité près de 15 jours de travail manuel. Tu peux trouver dans cette édition les explications complètes.
3. L’élaboration d’outils puissants
J’ai alors continué à développer mon expertise. En commençant par réfléchir à ce que je fais et comment pour identifier le processus le plus simple pour atteindre le résultat souhaiter. Ensuite identifier les outils nécessaires et faire l’automatisation.
Avec le NoCode, j’ai créé un outil de traduction, accélérant considérablement le processus de traduction et libérant du temps précieux pour me concentrer sur d’autres tâches importantes.
J’ai également conçu un système unique, centralisant toutes mes obligations et rendez-vous dans un calendrier alimenté par Notion, un vrai couteau suisse digital, facilitant ainsi la gestion de mes projets et de ma vie quotidienne.
J’ai aussi fait un système permettant d’analyser les commentaires des clients sur les produits et les contenus pour en tirer des conclusions sur les améliorations possible.
Tu trouveras d’autres exemples d’automatisation dans les éditions précédentes dans la section Automatisation de la semaine.
4. Au-delà des outils, une philosophie
Pour moi, le NoCode va bien au-delà des outils et des automatisations. C’est une philosophie profonde, une invitation à réfléchir de manière critique et minutieuse sur nos actions quotidiennes, sur le « comment » et le « pourquoi » de ce que nous faisons.
C’est cette préparation à la simplification qui est au cœur de ma philosophie, un processus qui met en lumière de nouvelles façons de faire et ouvre la porte à la simplification des processus existants.
La réflexion sur la manière dont on fait les choses, permet de se rendre compte des tâches ou des situations qui peuvent nous faire perdre du temps. Plus cette réflexion sera profonde, plus il sera possible de simplifier, et de supprimer ce qui n’est pas nécessaire.
5. Automatisation de la semaine : formulaire de contact site web
Sur tous les sites internet, il y a une page contact. Cette page permet d’envoyer un message ou de demander des informations à la personne ou aux personnes qui gère le site web. Souvent, le site web est une vitrine d’une entreprise avec une présentation des services, mais aussi du contenu pour montrer l’expertise de l’entrepris en question.
5.1 Le défi
Permettre aux personnes intéressées par un service d’envoyer leurs demandes directement à la bonne personne.
Le problème est que souvent, on reçoit les retours d’un tel formulaire sur la boite webmail de l’hébergeur et ça veut dire qu’il faut la consulter régulièrement pour ne pas rater des informations. Comme je ne veux pas avoir à faire ça, ça prend du temps et ça n’apporte pas grand-chose, j’ai fait une automatisation.
5.2 L’approche
- Make a servi de plateforme pour créer le flux de travail d’automatisation, définissant les étapes et intégrant les outils nécessaires.
- Tally est un outil pour créer des formulaires que l’on peut ensuite intégrer sur un site web sous forme de pop-up, de bannière ou dans une page. J’ai utilisé Tally pour permettre de faire tourner l’automatisation à chaque fois qu’une réponse est envoyée à l’aide d’un Webhook. Au lieu d’utiliser Airtable avec une vue formulaire qui nécessiterait de faire tourner l’automatisation avec une périodicité qui n’est pas nécessaire dans notre cas ici. Cette remarque est uniquement une question de coût d’opérations. C’est moins cher avec un Webhook.
- Airtable, avec sa capacité à gérer et à organiser des données, a servi de base pour stocker le contenu du formulaire. Dans cette automatisation, c’est en quelque sorte une sauvegarde.
- Gmail pour envoyer l’e-mail directement à la personne qui gère ces demandes.
5.3 Les résultats
Grâce à cette automatisation, dès que quelqu’un soumet le formulaire avec les infos, quelques minutes plus tard, la personne qui gère les demandes reçoit un e-mail et peut traiter la demande.
5.4 Les leçons
L’automatisation peut servir pour des tâches très simples comme celle-ci mais aussi pour tes processus plus complexe comme celui de la semaine dernière.
Je n’ai plus à me soucier des réponses qui sont soumises à l’aide de ce formulaire. Je vérifie que tout fonctionne de temps en temps. Dans le cas où il y aurait une erreur, je reçois un mail de Make qui m’indique qu’il y a une erreur.